Bernard Anselem
Docteur en médecine et master recherche en neuropsychologie. Tirer le meilleur de son cerveau en situation critique
Médecin, master recherche de neuropsychologie, auteur conférencier Ce qui m’intéresse est d’aider les gens à tirer le meilleur de leur cerveau dans les situations critiques telles que les décisions complexes, les rythmes épuisants, les stress intenses, le besoin d'impliquer les collaborateurs ou de convaincre les clients, les pertes de motivation par la fatigue, l’adaptation au changement permanent. Pour cela j'utilise les avancées de la recherche en sciences cognitives (neurosciences et psychologie expérimentale) Connaitre un minimum de fonctionnement cérébral n'est pas un luxe, c'est vital pour ne pas s'épuiser et choisir les meilleures stratégies. Tirer parti des potentiels sous-exploités, connaitre les limites, nous aide à prendre de meilleures décisions, développer l’intelligence collective, s'adapter aux changements et aux difficultés diverses, comprendre les autres, mieux activer les forces de motivation durables pour soi et pour autrui. . Je m'appuie sur les avancées de la recherche et la révolution des sciences cognitives pour utiliser au mieux nos compétences. Ces disciplines nous éclairent sur les grandes fonctions cérébrales utiles pour progresser : prise de décision, intelligence émotionnelle et relationnelle, coopération, motivations profondes, intuition, stress, créativité, concentration, apprentissage. Elles nous aident à utiliser plus finement nos capacités cérébrales, sans perte de temps et d'énergie.
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- Conférence : 2500 €
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Ses conférences
Intelligence émotionnelle, pourquoi sommes-nous si mauvais ?
De multiples recherches montrent que l'intelligence émotionnelle améliore la santé physique et mentale, le bien-être, l'efficacité au travail, la qualité relationnelle, la résilience et les choix stratégiques : elle nous rend capables de sélectionner les informations primordiales dans un environnement complexe et stressant et surtout, elle se cultive avec des méthodes validées. Comprendre notre cerveau émotionnel pour progresser : de l’émotion à l’action. Distinguer ce qui est modifiable de ce qui est hors de notre portée. Ce qui est accessible à notre volonté et ce qui ne l’est pas Quelles sont les méthodes de régulation les plus efficaces Comment les appliquer
S'adapter au changement : tirer le meilleur de son cerveau
Comment tirer parti de la neuroplasticité et savoir préserver son cerveau : l’explosion des connaissances, des incertitudes, l’accélération des rythmes, la succession des crises diverses, imposent à notre organisme des efforts épuisants. Dans ce contexte, connaître notre cerveau n'est pas un luxe, c'est indispensable pour ne pas s'épuiser et utiliser le meilleur de nos capacités d'adaptation. Identifier les facteurs de résistance et les potentiels de notre cerveau nous aide à gérer cette déferlante d’innovation et de stress. Comprendre les potentiels de la neuroplasticité, les facteurs de croissance neuronale et leur impact sur la flexibilité mentale. Adopter le bon état d'esprit et gérer nos sources de résistance au changement. Exemple de biais et distorsions de raisonnement. Initier le changement chez les collaborateurs. Intelligence émotionnelle. Les émotions nous dirigent à notre insu. Sur quels éléments pouvons-nous agir ? Comment les identifier, les apprivoiser et les utiliser au mieux de nos intérêts et de ceux de nos équipes. Utiliser les réseaux émotionnels de la motivation et du plaisir pour s’adapter aux changements et aux difficultés. Comment activer les réseaux du désir et de la motivation chez soi et chez autrui, comment inspirer le changement et l'intelligence collective pour ses équipes. Gérer son énergie et sa charge mentale dans la durée, tirer le meilleur de son cerveau en situation de stress
Décider dans l'incertitude, l'éclairage des neurosciences
Prise de décision en situation d’incertitude et de complexité : lorsque nous prenons une décision complexe, nous faisons de notre mieux pour analyser, peser le pour et le contre, et décider le plus rationnellement possible, persuadés qu’il s’agit d’une décision rationnelle. Mais dans la vraie vie le nombre de paramètres incertains, inconnus ou risqués est infini. Le cerveau doit se raccrocher à ce qu’il connait pour produire ses raisonnements et intuitions, mais la réalité déjoue trop souvent les plans et les prédictions. Quels sont les pièges et potentiels sous-estimés. Quelles sont les influences émotionnelles, quand utiliser nos raisonnements, quand écouter nos intuitions ? Les 2 ont leur place, mais pas dans les mêmes circonstances. Comment les utiliser avec discernement. Mieux connaitre les processus décisionnels cérébraux nous aide à répondre avec nuance à cette délicate question et à réconcilier les mondes émotionnels (les ressentis subjectifs) et scientifiques (la raison). Les émotions nous aident à condition de savoir dans quelles conditions se méfier de nos biais cognitifs. Influences émotionnelles sur la prise de décision Avantages et limites de la décision intuitive Quand favoriser l’analyse, quand préférer l’intuition
Les neurosciences renouvellent la motivation
La motivation est à la base de l’efficacité, elle ne se décrète pas, mais se cultive. Pourquoi certains gravissent des montagnes, alors que d’autres se découragent ou se lassent en cours de route ? Face aux efforts à fournir, il faut un désir durable qui ne s’épuise pas. Connaitre les lois neuronales des motivations profondes, permet de comprendre les mécanismes du découragement, de l'ennui et surtout d'identifier les motivations qui résistent à l'épuisement ou au désintérêt. Comment progresser en efficacité, donner le meilleur de soi, libérer notre énergie en stimulant efficacement nos réseaux motivationnels. Les fonctions cérébrales de motivation Comment les activer durablement Comment les transmettre aux autres pour engager